CÉLÉBRATIONS LITURGIQUES
Samedi 1er décembre 17 h
Parents défunts familles Dooley et Stewart par Ann et Gilles Fleury
Paul-Émile Gauthier par les parents et amis
Famille Georges Montplaisir par Gisèle Montplaisir
Famille Frédéric Dufresne par Gisèle Montplaisir
Dimanche 2 décembre 9 h 30
Gilles Leduc par Lise et Sylvain
Mario Venilde Pereira par Arthur Pereira
Jean-François Prince par Lise et Denis Desrosiers
Familles Proulx et Lalonde par Paul et Gisèle
M. et Mme Emilien Denis par leurs enfants
Pierre Gendron par sa compagne Nicole
Marcel Robillard par la famille Giroux
Lundi 3 décembre 9 h
Jean-Claude Pilon par les parents et amis
François Tessier par les parents et amis
Mercredi 5 décembre 9 h
Réal Ferland par les parents et amis
Marcelle Lefebvre par la Société Saint-Jean-Baptiste
Vendredi 7 décembre 9 h
En l’honneur de l’Esprit Saint par Louise Normandeau
Samedi 8 décembre 17 h
Marcel Quesnel et Germaine De Bellefeuille par les enfants
Noëlla Levac Ménard (5e ann.) par sa fille Raymonde
M. et Mme Romain Ranger, leur fille Marie-Claire et leur fils Gilles par la famille Rosaire Ranger
Dimanche 9 décembre 9 h 30
Yvonne et Albert Lambert et Antoine Mineau par la famille
André Robitaille par la famille
M. et Mme Emilien Denis par Janic Ouellet
Agathe Campeau Dicaire par le Club des Ainés associés de Vaudreuil Dorion
Carmen Guillemette-Cantin (1er ann.) par son époux Jean-Marie
Église Très-Sainte-Trinité
Dimanche 2 décembre 11 h
Isabelle Ireland par sa fille Suzanne
Parents défunts par Marcienne et Bernard Denis
Ginette Hébert par Marie-Claire Hébert
Claire Éthier par les adorateurs de la chapelle
Annette Savoie-Martel (35e ann.) par André Martel
Mardi 4 décembre 19 h
Fortunate Santerre Ouellet par les parents et amis
Liliane Therrien par les parents et amis
Dimanche 9 décembre 11 h
Jean-Louis Crevier par les parents et amis
Jacqueline Allard par Ginette Vaillancourt
En remerciement à saint Antoine par une paroissienne
Dimanche 2 décembre 9 h 30
Gaétane et Louis Edouard Levac par Sylvie et Richard Marcotte
André Brabant par les parents et amis
Marcel Mallette par sa famille
Dimanche 9 décembre 9 h 30
Pauline Bissonnette par Gilles et Daniel
Roger Simard par les parents et amis
Mardi 4 décembre Manoir Harwood
François Tessier par les parents et amis
Mardi 4 décembre Le Languedoc
Thérèse Proulx par Jeanne, Mariette et Carmen
Rita Marcoux Leroux par sa sœur Jeanne d’Arc
Maurice Riopel par son épouse Huguette et son fils Luc
Mercredi 5 décembre Le Félix
Aline B. Lafrance par les parents et amis
François@Pontifex_fr, 26 novembre 2018
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi
à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation,
mais délivre-nous du Mal.
Pourquoi la prière du « Notre Père » change
Ce 2 décembre 2018, premier dimanche de l’Avent, entre en vigueur partout au Canada français, la nouvelle version du Notre Père. Ce qui change, c’est la sixième demande : « Ne nous soumets pas à la tentation » devient « Ne nous laisse pas entrer en tentation ». Pourquoi ce changement? Était-il nécessaire de bouleverser tout le Notre Père par ce seul changement, si important soit-il?
Au Concile Vatican II, dans un souci œcuménique, on avait remplacé « Ne nous laissez pas succomber à la tentation » par « Ne nous soumets pas à la tentation ». Cette dernière formulation a longtemps suscité des controverses entre fidèles, théologiens et exégètes, car elle portait à une mauvaise compréhension du sens de la demande. Une modification était nécessaire. Dans les notes explicatives envoyées par le Secrétariat et l’Office national de la liturgie de la Conférence des évêques catholiques du Canada, on donne trois raisons à la modification : fidélité au texte grec, souci de fidélité à l’esprit de l’Évangile et décision pastorale.
Fidélité au texte grec : le verbe « soumettre » ne rend pas justice au terme grec qui signifie plutôt « entrer en ». D’ailleurs, plusieurs fidèles comprennent que Dieu pourrait nous soumettre à la tentation, nous éprouver en nous sollicitant au mal. Le sens de la foi nous indique que ce ne peut pas être le sens de cette sixième demande. Ainsi, dans la lettre de Saint Jacques, il est dit clairement : « Dans l’épreuve de la tentation, que personne ne dise : « Ma tentation vient de Dieu », Dieu en effet, ne peut être tenté de faire le mal, et lui-même ne tente personne » (Jc 1,13). Comme l’affirme le pape François, « Dieu ne pousse pas vers la tentation pour ensuite observer comment l’être humain est tombé. Au contraire, Dieu, comme Père, aide aussitôt l’homme qui est tombé à se relever ».
Fidélité à l’esprit de l’Évangile : il ne s’agit pas seulement d’une question de mots. Le changement exprime un souci d’entrer dans le mystère de Dieu dans sa relation aux humains et au monde marqué par la présence et la force du mal. Le récit de la tentation de Jésus est éclairant. Après son baptême dans le Jourdain, conduit par l’Esprit, Jésus se rend au désert où il est tenté par Satan. Il y livre un combat avec le tentateur lui-même, combat redoutable où Jésus est attaqué dans sa mission de Fils et de Sauveur. La tentation de Jésus nous renvoie au combat à mener contre celui qui veut nous éloigner de Dieu et nous séparer de Lui, en nous détournant du chemin d’obéissance et d’amitié avec Dieu le Père.
Décision pastorale : la nouvelle traduction veut enlever la confusion ou la mauvaise compréhension chez les fidèles et les inciter à la lutte contre le Malin. Comment? D’abord, en écartant l’idée que Dieu lui-même pourrait nous soumettre à la tentation; ensuite, en utilisant l’image ou l’idée du terme grec « d’entrer en », image qui réfère à un mouvement, celui d’aller au combat. Nous sommes tous confrontés à ce combat spirituel. A l’heure de son affrontement décisif avec Satan, Jésus lui-même a prié au jardin de Gethsémani : « Père, s’il est possible, que cette coupe passe loin de moi ». A plus forte raison, nous, disciples qui ne sommes pas plus grands que le Maître, devons faire cette demande pour nous et pour nos frères et sœurs en humanité : « Ne nous laisse pas entrer en tentation ».
Le Notre Père est une école de prière quotidienne, simple et accessible. Recevons-le, disons-le avec foi, espérance et charité, dans le souffle de l’Esprit qui fait vivre, nuit et jour, les disciples de Jésus. Pour cela, n’oublions pas de Lui dire humblement : « Seigneur, apprends-nous à prier », comme les apôtres l’ont demandé eux-mêmes à Jésus. (Adaptation de notes de la Conférence des évêques catholiques du Canada, qui, elles, s’inspiraient d’un document publié sur ce sujet par la Conférence des évêques de France en 2017)
† Noël Simard, Évêque de Valleyfield
Prière pour le premier dimanche de l’Avent
Seigneur Jésus, avec toi nous espérons un monde de paix, de justice et de solidarité. Nous te prions avec nos mains ouvertes pour partager, nos bras tendus pour accueillir, nos yeux ouverts pour reconnaître les gens qui ont besoin de nous, nos oreilles attentives pour écouter les appels du monde. En t’attendant, nous gardons nos cœurs en éveil pour bien t’accueillir chez nous. Amen.
Avis de convocation
Vous êtes conviés à assister à l’assemblée des paroissiens et paroissiennes, fabrique Saint-Michel ce dimanche 2 décembre à 12 h à l’église Très-Sainte-Trinité pour l’élection de deux marguilliers ou marguillières.
Concert de Noël autour du monde
Un petit rappel si vous désirez passer un moment agréable avec Linda Dumouchel. Flûte traversière, piano, chant, accordéon, cithare et petites surprises de Noël.
Église Saint-Michel, dimanche 2 décembre, 15 h
Église Saint-Pierre, samedi 8 décembre, 15 h
Église Sainte-Jeanne-de-Chantal, dimanche 9 décembre, 15 h
Contribution volontaire----------------------Bienvenue à toute la famille!
Immaculée Conception le 8 décembre
Samedi prochain, en l’honneur de l’Immaculée Conception, avant la messe de 17 h, il y aura récitation du chapelet à 16 h 30.
18e anniversaire
En ce 2 décembre, il y a 18 ans, Eric a répondu à l’appel de Dieu pour consacrer sa vie à la gloire de son nom. On a découvert sa recette pour y réussir, la voici :
Bien mélanger au bonheur quelques cuillerées de confiance en soi et d’optimisme. À ça ajouter un petit grain de folie et y saupoudrer quelques fous rires. Pour finaliser le plat, respecter et aimer les gens.
Au nom de tous, Éric, que le Seigneur qui t’a associé à son sacerdoce ministériel achève ce qu’Il a commencé en toi ! Félicitations!